Aller au contenu principal

Robot transporteur : alléger la pénibilité

L’EARL Christophe Brouard, à Chalonnes-sur-Loire, a accueilli en démonstration le robot transporteur Effibot : une aide pour la manutention et la réduction de la pénibilité, particulièrement adaptée à la viticulture.

© AA

« En viticulture, la tendance générale est à la hausse de la demande sur la robotisation », introduit Philippe Michard, distributeur de robots pour Maviho, dont Effibot, conçu par Effidence, robot transporteur et de manutention.

Transporter jusqu’à 350 kg
Le robot Effibot se veut une solution pour le maraîchage, l’horticulture et la viticulture. Concrètement, c’est un robot transporteur qui limitera la pénibilité liée au port de charges : outils, récolte, matériel. Il est équipé d’un plateau de dimensions 66 cm par 127 cm. La capacité de charge est de maximum 350 kg. « La limite de ce robot est que la taille du plateau ne sera que peu modifiable, puisque le capteur doit pouvoir être à proximité de l’environnement proche du robot », complète Philippe Michard. Un capteur ? « Le robot détecte son “opérateur” grâce à un laser 360°. Une fois celui-ci identifié,  c’est-à-dire une fois que l’utilisateur a appuyé sur le bouton, le robot le suit ou le précède automatiquement. L’ergonomie est vraimentr très simple ». Mais le robot Effibot dispose aussi d’un système de navigation autonome, qui lui permet un retour automatique en bout de rang ou en bordure de parcelle. « Il faut juste que la végétation autour de lui soit assez haute : il se repère aux masses. Il va ensuite seul jusqu’à l’autre extrémité, et il s’arrête à une distance prédéfinie ». Une télécommande permet aussi de diriger le robot, notamment pour les manœuvres et la montée ou la descente d’un véhicule. Mais l’objectif reste le fonctionnement en autonomie. Quant à la sécurité, le robot permet de régler au besoin la distance d’arrêt face à un obstacle, « par sécurité, elle est bloquée à 20/25 cm ».

Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 7 juillet 2017.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Des conditions météo qui malmènent les récoltes

Les récoltes de cultures de printemps sont fortement perturbées par la pluviométrie. Reportage à La Séguinière où les…

Damien Robert, associé du Gaec LG bio au Tremblay. L'exploitation développe un système basé sur l'herbe, en pâturage, en foin et en affouragement en vert.
Leurs démarches vers l'autonomie
Le Gaec LG Bio, au Tremblay, cherche à concilier autonomie alimentaire de l'élevage et efficacité laitière. La grande majorité de…
Le site de l'Abeille 2, à Mazières-en-Mauges.
La main tendue de LSDH
aux producteurs Lactalis
Dans un communiqué daté du 11 octobre, la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH) a annoncé une "main tendue" aux familles de…
Michel Barnier et Annie Genevard ont visité le Sommet de l'élevage le 4 octobre 2024
Premières annonces du Gouvernement Barnier
Le Premier ministre, Michel Barnier, a arpenté le 4 octobre, les allées du 33e Sommet de l'élevage à Cournon d'Auvergne (Puy-de-…
Irrigation : en Loire-Bretagne, importante hausse de la redevance pour 2025-2030

Les membres du comité de l'agence de l'eau Loire-Bretagne et du conseil d'administration ont adopté, le 15 octobre, le 12e…

Thomas Godard fournit chaque année environ 250 tonnes de mâche à sa coopérative.
La mâche,c'est toute l'année !

Thomas Godard est maraîcher à Beaupréau-en-Mauges (La Poitevinière). Il produit principalement de la mâche, ainsi que du…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois