Aller au contenu principal

Chez Espace Emeraude, on vend... et on répare

Créé en Maine-et-Loire il y a 40 ans, Espace Emeraude rayonne aujourd’hui sur toute la France. L’enseigne angevine fait de la durabilité et de la réparabilité des matériels sa priorité.

Atelier de l’Espace Emeraude Les Ponts-de-Cé. L’enseigne va renforcer ses compétences en réparation, en embauchant des apprentis.
Atelier de l’Espace Emeraude Les Ponts-de-Cé. L’enseigne va renforcer ses compétences en réparation, en embauchant des apprentis.
© AA

« On a l’habitude de dire que nous faisons dans l’utile, pas dans le futile », résume Jean-Marc Hupé, le directeur général du groupe Espace Emeraude. L’enseigne angevine propose depuis 40 ans des biens d’équipement de la maison et du jardin, s’adressant aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels (agriculteurs, artisans du bâtiment, professionnels des espaces verts...). Elle a été créée en 1980 par Claude Batardière, gendre du fondateur de Modema, Jean Besnard. Et depuis, elle n’a cessé de se développer.
Aujourd’hui, Espace Emeraude, c’est 79 points de vente en France, dont 4 en Maine-et-Loire. Le groupe est resté familial puisque le capital est détenu à 80 % par la famille Batardière. Il a réalisé, en 2020, un chiffre d’affaires de 278 millions d’euros, en hausse de 10 % en moyenne sur la globalité des magasins, mais avec des disparités importantes.

Performances économiques et durabilité
Pour les prochaines années, l’enseigne se donne pour objectif de concilier performance économique et durabilité. « Nous cherchons à redonner du sens à ce que l’on fait, poursuit Jean-Marc Hupé. Nous restons dans la ruralité, la proximité, puisque nos clients sont nos voisins. Et nos clients aiment les choses qui durent ! ». Le réseau compte s’appuyer sur la présence d’ateliers dans tous ses magasins pour proposer à ses clients de réparer davantage les matériels. « Nous avons des compétences en mécanique, électromécanique, électricité... Nous pouvons réparer aussi bien des tracteurs diesel que des robots de tonte. Avec ce super capital, nous pouvons faire en sorte que tous les produits que l’on vend soient réparables.» Un effort particulier va être porté sur l’apprentissage, avec 15 à 20 apprentis présents dans les ateliers des magasins intégrés du groupe d’ici l’été 2021, et le recrutement de jeunes commerciaux en alternance. Le groupe a aussi sollicité les services d’une entreprise de design nantaise pour imaginer un prototype d’atelier innovant.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

A l'EARL le Pont Montreuil, à Châtelais : Thomas Jolly, conseiller territoire à la Chambre d'agriculture, Alexandre Mosset, chargé de mission agriculture et environnement à Anjou Bleu Commmunauté, Marc, conseiller agricole en recherche d'une exploitation et l'agriculteur Jean-Claude Fournier. "Je suis prêt à faire un parrainage si le jeune le souhaite", a souligné le futur cédant.
Un premier agribus en Segréen pour visiter des fermes à reprendre

Vendredi 21 mars, la Chambre d'agriculture et Anjou Bleu Communauté ont organisé le premier agribus en Maine-et-Loire. Un…

Qui sont les nouveaux agriculteurs ?

Alors que le renouvellement des générations est un enjeu majeur, l'Esa a mené l'enquête Agrinovo, sur les nouveaux…

En matière de phytosanitaires, le SRAL attire l'attention des agriculteurs sur l'absence d'équipements de protection individuels, des pulvérisateurs non contrôlés et sur les conditions d'emploi des produits.
Un bilan des contrôles qui va dans le bon sens

Vendredi 21 mars, le Préfet a réuni la profession agricole et tous les services de l'Etat pour faire un bilan des contrôles…

Olivier Brault succède à Régis Alcocer

Le vigneron Olivier Brault, installé à Brissac Loire Aubance, préside désormais les Caves de la Loire, pour deux années avant…

Anne Mahé, directrice de la fédération Groupama49, Jacques Blondet et Dylan Mortier, préventeur des risques naturels à la caisse régionale de Groupama.
Anticiper le risque inondation
Afin de mieux maîtriser les coûts de sinistres et d'anticiper les risques, Groupama initie des actions de prévention sur le…
Dans le clos de vigne associative de la Pierre à Fourneau, à Saint-Florent-le-Vieil : André Retailleau, vice-président de l'association Vigne et patrimoine du Montglonne, Daniel Thibault, trésorier adjoint et responsable des travaux et Roland Chevalier, viticulteur à la retraite et vice-président.
St-Florent adopte le cépage Floréal

À Saint-Florent-le-Vieil (Mauges-sur-Loire), l'association Vigne et patrimoine du Montglonne (VEPDM) a replanté une vigne dans…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois