Aller au contenu principal

Dégâts de gibier
Déclarer tous vos dégâts aux cultures

La FDSEA rappelle l'importance de déclarer tous les dégâts subis dans les cultures, car certaines espèces pourraient ne plus être chassables faute de déclarations.

Tous les dégâts, les gros comme les petits, doivent être déclarés via l'application « Signaler dégâts faune sauvage ». Les agriculteurs doivent avoir ce réflexe pour éviter que certaines espèces sortent du classement.
Tous les dégâts, les gros comme les petits, doivent être déclarés via l'application « Signaler dégâts faune sauvage ». Les agriculteurs doivent avoir ce réflexe pour éviter que certaines espèces sortent du classement.

Les dégâts de la faune sauvage sur les cultures et les élevages impactent lourdement les exploitations agricoles. Les agriculteurs doivent signaler tous les dégâts qu'ils subissent via l'application " Signaler dégâts faune sauvage ", qu'ils soient causés par le grand gibier (cerf, sanglier, chevreuil), les Esod (voir encadré) mais aussi les espèces protégées comme le choucas des tours.

Les dégâts recensés concernent les productions agricoles, mais aussi les habitations, les berges de cours d'eau... "Ces signalements enrichissent une base de données scientifiques qui sert pour renouveler le classement des Esod dans le département, un classement menacé par des recours d'associations animalistes" rappelle Sylvain Piet qui suit ce dossier pour la FDSEA. "Les agriculteurs doivent avoir le réflexe de déclarer leurs dégâts, même les plus petits. Car sans ces éléments, il y a un vrai risque de ne plus pouvoir chasser".

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Un Festi'élevage 2024 maintenu et adapté au contexte sanitaire

La 28ème édition de Festi'élevage se tiendra ces 6,7 et 8 septembre au Théâtre-foirail de Chemillé-en-Anjou. Le point avec son…

Les cas de MHE survenus jusqu'ici concernent surtout des animaux pâturant dans des zones de vallées. La maladie touche des élevages allaitants et laitiers.
La MHE s'installe en Anjou : conseils aux éleveurs
Depuis les premiers cas de la semaine dernière, la maladie continue de s'étendre en Maine-et-Loire. Les suspicions se multiplient…
La grande majorité des races a pu concourir, excepté les ovins rouges de l'ouest, absents, et les blondes d'Aquitaine, avec seuls quelques animaux en présentation.
Une édition 2024 particulière pour le Festi'élevage de Chemillé
MHE, FCO : le contexte sanitaire a tenu en haleine les organisateurs de Festi'élevage. Ils ont maintenu l'événement, avec un peu…
Le groupe des participants au concours.
Une édition avec moins d'animaux cette année à la foire de la Petite Angevine

Contexte sanitaire oblige, la Petite angevine a eu lieu avec moins d'animaux d'élevage que d'habitude, le week-end dernier à…

Jeudi 29 août, les becs rotatifs de la Jaguar 940 avancent bien dans les rangs. Paulin Gendreau est salarié de la société gérée par son oncle, Christophe Poitou et sa mère Christine Gendreau.
Le Gaec de Meat remplit ses silos
La récolte du maïs a débuté dans le sud du département. Le Gaec de Meat a fait appel à l'ETA Gautier pour réaliser son chantier…
Clément Rousselot est l'une des trois personnes en charge de l'atelier allaitant sur l'exploitation.
"10 % de mon cheptel allaitant touché par la MHE"
Les cas de MHE se sont multipliés dans les élevages bovins des Mauges. Témoignage de Clément Rousselot, dont le cheptel allaitant…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois