Aller au contenu principal

ENVIRONNEMENT
L’AEI, une démarche à développer dans le Maine-et-Loire

La Chambre d’agriculture du département déploie son plan d’action sur cinq ans.

Pascal Gallard, élu de la Chambre d’agriculture du Maine-et-Loire.
Pascal Gallard, élu de la Chambre d’agriculture du Maine-et-Loire.
© AA

L’objectif de l’AEI (Agriculture écologiquement intensive) ? “Créer davantage de valeur ajoutée en améliorant les performances économiques et environnementales”, explique Pascal Gallard, vice-président de la Chambre d’agriculture du Maine-et-Loire. Au cours de la dernière session de la Chambre du département, organisée le vendredi 21 juin, à la ferme expérimentale des Trinottières, l’élu a expliqué le plan d’action de la Chambre en la matière. “Nous souhaitons développer des groupe de progrès spécifiques à l’AEI.” Si aujourd’hui, on dénombre pas moins de 36 groupes de progrès dans le département, “le but est d’en atteindre 50 d’ici cinq ans.” Déjà trois nouveaux groupes ont été créés en 2013. 


L’AEI passe par la formation
Le déploiement de l’AEI passe aussi par la formation. “C’est pour cela que les animateurs des groupes de progrès ont déjà suivi une formation avec le réseau Trame dans ce sens.” Et bien sûr la Chambre continue son travail de communication auprès des agriculteurs. La preuve avec les journées portes ouvertes Innov’action. Une première dans la région et dans le département, qui a eu lieu la semaine dernière. Plus de 430 agriculteurs se sont rendus aux onze portes ouvertes. “Sans doute, trop peu de participants”, commente Pascal Gallard. Mais l’élu est plutôt optimiste et positive la situation. “Les agriculteurs qui ont ouvert leurs portes sont ravis d’avoir pu partager leur expérience.”  Pascal Gallard se félicite aussi de l’organisation technique : “Des organismes comme Élevage Conseil Loire Anjou ou les Cuma nous ont beaucoup aidés dans toute l’organisation.”

H.R.
Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

Des conditions météo qui malmènent les récoltes

Les récoltes de cultures de printemps sont fortement perturbées par la pluviométrie. Reportage à La Séguinière où les…

Damien Robert, associé du Gaec LG bio au Tremblay. L'exploitation développe un système basé sur l'herbe, en pâturage, en foin et en affouragement en vert.
Leurs démarches vers l'autonomie
Le Gaec LG Bio, au Tremblay, cherche à concilier autonomie alimentaire de l'élevage et efficacité laitière. La grande majorité de…
Le site de l'Abeille 2, à Mazières-en-Mauges.
La main tendue de LSDH
aux producteurs Lactalis
Dans un communiqué daté du 11 octobre, la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH) a annoncé une "main tendue" aux familles de…
Michel Barnier et Annie Genevard ont visité le Sommet de l'élevage le 4 octobre 2024
Premières annonces du Gouvernement Barnier
Le Premier ministre, Michel Barnier, a arpenté le 4 octobre, les allées du 33e Sommet de l'élevage à Cournon d'Auvergne (Puy-de-…
Irrigation : en Loire-Bretagne, importante hausse de la redevance pour 2025-2030

Les membres du comité de l'agence de l'eau Loire-Bretagne et du conseil d'administration ont adopté, le 15 octobre, le 12e…

Thomas Godard fournit chaque année environ 250 tonnes de mâche à sa coopérative.
La mâche,c'est toute l'année !

Thomas Godard est maraîcher à Beaupréau-en-Mauges (La Poitevinière). Il produit principalement de la mâche, ainsi que du…

Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois