bovins viande
Le changement de lieu, un succès pour la vente de printemps
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14 jeunes reproducteurs sur 54 vendus lors de la vente organisée au Domaine des rues, le mercredi 6 mars.
Alors que l’an dernier, la vente de reproducteurs de l’an dernier à Cholet a accueilli 40 animaux, cette année 54 reproducteurs étaient proposés à la vente.
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Et si certaines traditions prenaient fin ? Ou du moins changeaient de lieu ? Élevage conseil Loire Anjou a changé le lieu de sa traditionnelle vente de reproducteurs de printemps (qui se déroulait d’ordinaire au marché à bestiaux de Cholet). Le Domaine des rues, à Chenillé-Changé, l’a accueillie la semaine dernière. Un changement pour attirer les éleveurs du nord du département. Un objectif atteint puisque 54 animaux étaient présentés et 14 ventes ont été conclues. Pour un prix moyen entre 2 200 et 2 300 €. “Ce sont des chiffres encourageants”, note Jean-Luc Besson, conseiller à Élevage conseil Loire Anjou. Déjà, les conseillers ont constaté des acheteurs différents. “Il y a des éleveurs du nord Segréen, de Mayenne, même de Loire-Atlantique.”
26 % des animaux vendus
Acheteurs et vendeurs semblent satisfaits de ce nouveau lieu. Comme Denis Colombeau, éleveur charolais à Daumeray. “Je suis souvent allé à cette vente, mais je dois reconnaître que ce nouveau lieu est plus pratique, c’est moins loin.” Ce que l’éleveur a aussi apprécié, ce sont les conseils des techniciens. “En fonction de mon troupeau et de mes objectifs de production, un technicien m’avait déjà orienté vers des animaux qui correspondaient à mes attentes.” Une fois sur place, après discussions avec les vendeurs, l’éleveur a fait son choix.
Emmener ses mâles à ce type d’évènement n’a pas pour seul objectif la vente. Pour Dominique Mignot, “c’est surtout l’occasion de montrer la qualité de son élevage”. Parce que, comme l’explique l’éleveur de limousines, “le travail continue, une fois la vente terminée.” Il faut trouver de futurs acheteurs. L’agricuteur de Cheminé-sur-Sarthe ne peut que se satisfaire de sa matinée : “les deux animaux que j’ai emmenés ont trouvé des acheteurs.” Plus qu’une satisfaction, il s’agit aussi d’une sorte d’aboutissement. “Cela fait 15 ans que je fais de la génétique, emmener des animaux à ce genre de vente, c’est la preuve que le travail paye”.
Les organisateurs de la vente, ravis de ce changement, pensent déjà faire de cette exception une nouvelle tradition.
26 % des animaux vendus
Acheteurs et vendeurs semblent satisfaits de ce nouveau lieu. Comme Denis Colombeau, éleveur charolais à Daumeray. “Je suis souvent allé à cette vente, mais je dois reconnaître que ce nouveau lieu est plus pratique, c’est moins loin.” Ce que l’éleveur a aussi apprécié, ce sont les conseils des techniciens. “En fonction de mon troupeau et de mes objectifs de production, un technicien m’avait déjà orienté vers des animaux qui correspondaient à mes attentes.” Une fois sur place, après discussions avec les vendeurs, l’éleveur a fait son choix.
Emmener ses mâles à ce type d’évènement n’a pas pour seul objectif la vente. Pour Dominique Mignot, “c’est surtout l’occasion de montrer la qualité de son élevage”. Parce que, comme l’explique l’éleveur de limousines, “le travail continue, une fois la vente terminée.” Il faut trouver de futurs acheteurs. L’agricuteur de Cheminé-sur-Sarthe ne peut que se satisfaire de sa matinée : “les deux animaux que j’ai emmenés ont trouvé des acheteurs.” Plus qu’une satisfaction, il s’agit aussi d’une sorte d’aboutissement. “Cela fait 15 ans que je fais de la génétique, emmener des animaux à ce genre de vente, c’est la preuve que le travail paye”.
Les organisateurs de la vente, ravis de ce changement, pensent déjà faire de cette exception une nouvelle tradition.