Horticulture
Le développement durable au cœur des pépinières Levavasseur
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L’entreprise a ouvert ses portes au grand public à l’occasion des Rencontres du végétal.
La pépinière emploie 65 salariés pour une surface couverte de 30 000 m2 et une surface en plein air de 120 hectares.
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Des cultures à perte de vue, des rangs d’arbustes à fleurs et de conifères, une entreprise en effervescence : c’est ça le quotidien des pépinières Levavasseur, À Brain-sur-l’Authion. Jeudi 2 août, l’entreprise a ouvert ses portes pour les Rencontres du végétal. Une visite de près de deux heures, où le grand public s’est familiarisé avec ce type de cultures. « Certains sont simplement curieux, d’autres étaient du métier… Il y a aussi des étrangers, mais depuis qu’on a commencé les Rencontres du végétal, le nombre de visiteurs a été multiplié par dix ! », affirme Pascal Levavasseur, actuel gérant des pépinières du même nom. Comme tout métier en lien avec des cultures, les pépiniéristes sont avant tout tributaires de la météo. « Il faut anticiper et protéger des plantes qui sont parfois fragilisées par les différences de températures. C’est notre principale préoccupation », ajoute le chef d’entreprise.
Malgré les serres, de nombreux arbustes sont en plein air. « Nous produisons des produits horticoles ornementaux. Les recherches génétiques et les croisements que nous effectuons ont pour but de créer des plantes qui favorisent le respect de l’environnement », précise Pascal Levavasseur.
Grâce à “la douceur angevine”, les terrains de l’entreprise permettent de faire des plantes pour le Nord et pour le Sud. « Le sol de nos terres est riche en argile et en sable. Cela provoque une réaction et une exploration racinaire rapide de la plante. Nous obtenons de beaux végétaux en peu de temps », explique le gérant.
Une reconnaissance mondiale
Les clients de la pépinière viennent des quatre coins du monde. Un moyen de promouvoir la vallée angevine et ses spécialités en végétal. « Désormais nous sommes connus et reconnus d’un point de vue politique et public, grâce au pôle de compétitivité, Végépolys. La preuve ? Le nombre croissant de visiteurs aux Rencontres du végétal », remarque Pascal Levavasseur. C’est dans un esprit de cohérence et par souci d’écologie que la pépinière s’est mise au développement durable. La gestion de l’eau, le tri sélectif, le compostage, la dépollution et le recyclage sont des pratiques courantes de l’entreprise depuis plusieurs années déjà. « Nous développons des pots en fibre de bois qui sont entièrement recyclables pour éviter d’utiliser des pots en plastiques, nuisibles à l’environnement. C’est une première, nous verrons si les résultats sont satisfaisants », estime Pascal Levavasseur. Les pesticides ont également été remplacés par des copeaux de bois. Du bureau aux serres, il n’y a qu’un seul mot d’ordre : le respect de l’environnement…
Malgré les serres, de nombreux arbustes sont en plein air. « Nous produisons des produits horticoles ornementaux. Les recherches génétiques et les croisements que nous effectuons ont pour but de créer des plantes qui favorisent le respect de l’environnement », précise Pascal Levavasseur.
Grâce à “la douceur angevine”, les terrains de l’entreprise permettent de faire des plantes pour le Nord et pour le Sud. « Le sol de nos terres est riche en argile et en sable. Cela provoque une réaction et une exploration racinaire rapide de la plante. Nous obtenons de beaux végétaux en peu de temps », explique le gérant.
Une reconnaissance mondiale
Les clients de la pépinière viennent des quatre coins du monde. Un moyen de promouvoir la vallée angevine et ses spécialités en végétal. « Désormais nous sommes connus et reconnus d’un point de vue politique et public, grâce au pôle de compétitivité, Végépolys. La preuve ? Le nombre croissant de visiteurs aux Rencontres du végétal », remarque Pascal Levavasseur. C’est dans un esprit de cohérence et par souci d’écologie que la pépinière s’est mise au développement durable. La gestion de l’eau, le tri sélectif, le compostage, la dépollution et le recyclage sont des pratiques courantes de l’entreprise depuis plusieurs années déjà. « Nous développons des pots en fibre de bois qui sont entièrement recyclables pour éviter d’utiliser des pots en plastiques, nuisibles à l’environnement. C’est une première, nous verrons si les résultats sont satisfaisants », estime Pascal Levavasseur. Les pesticides ont également été remplacés par des copeaux de bois. Du bureau aux serres, il n’y a qu’un seul mot d’ordre : le respect de l’environnement…
MARIE DE TOURNEMIRE