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Normandes
Le National au Haras du Pin en ligne de mire

Le syndicat normand 49 s’est réuni le 15 juin à Bouzillé. Il continue à bien mobiliser et prépare plusieurs concours.

A l'occasion de leur AG, les éleveurs de normandes ont visité le Gaec du Thouet. Cette exploitation à 7 associés et 2 salariés élève un troupeau de 250 vaches laitières, dont 1 quart de normandes.
© AA

Le premier week-end de juillet, dans le site prestigieux du Haras du Pin (61), 5 élevages de Maine-et-Loire présenteront les 8 animaux sélectionnés au concours national de la race. Un moment important pour le syndicat normand, qui prépare aussi  les concours de la rentrée : « nous encourageons le maximum d’éleveurs à participer au Festi’élevage de Chemillé, ainsi qu’au Space et Sommet de l’élevage », souligne Jean-Pierre Cassin, président de Normande 49.


Ma Normande Locale se développe
Lors de l’AG,  qui a réuni une cinquantaine de personnes, un point a été fait sur la filière de valorisation de la viande, Ma Normande locale, en constant développement. Plus de 70 élevages de Bretagne, Normandie et Pays de la Loire sont entrés dans la démarche, qui permet une valorisation des vaches de réforme de 30 ct d’€ de plus du kg de carcasse. « Pour entrer dans la filière, il faut que les exploitations soient qualifiées HVE, explique Jean-Pierre Cassin. Grâce à leur récente qualification, 7 élevages de Maine-et-Loire ont pu y entrer cette année ». D’autres élevages pourraient être qualifiés à l’automne. Les vaches sont achetées par deux opérateurs principaux, Pomona et Gallais Viandes. L’activité  se renforce puisqu’elle était de 10 bêtes abattues en moyenne par semaine en 2022, puis de 22 en 2023, et pourrait passer à 45 en 2024.

 

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