Formation
L’horticulture et les métiers du paysage ont présenté des candidats motivés.
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Un Angevin à la finale nationale des Olympiades des métiers
Aurélien Onillon lors de l’épreuve de reconnaissance des végétaux. Il représentera les Pays de la Loire lors de la finale nationale des Olympiades des métiers en mars.
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C’est sous le slogan “Venez découvrir des métiers qui recrutent !” que les sélections régionales des 39e Olympiades des métiers ont mis à l’honneur seize métiers vendredi et samedi derniers au parc des expos d’Angers.
Rassemblés au sein du pôle agriculture, les horticulteurs et les jardiniers-paysagistes ont montré leurs savoir-faire tout au long des deux journées de compétition. Sur le stand horticulture, sous l’œil attentif du jury composé de formateurs et de professionnels, les six candidats en lice se sont mesurés lors de huit épreuves de floriculture : tuteurage des hortensias, rempotage manuel, rempotage mécanisé, tri et conditionnement des fleurs coupées, confection de coupes, connaissance et reconnaissance des végétaux, semis manuel, mise en place d’un système d’irrigation localisé.
Des débouchés à tous niveaux
« L’horticulture participe pour la deuxième fois seulement aux Olympiades des métiers. C’est important d’être là, de montrer qu’il y a des jeunes qui se forment à ce métier, qu’ils acquièrent des connaissances générales et techniques. Cela permet de tordre le cou à certaines idées reçues : ce n’est pas un métier à la chaîne, il faut du goût, de l’organisation. Les gens ont souvent une vision assez limitée du métier. Il y a des débouchés à tous les niveaux. Nous avons tous les ans des jeunes qui montent leurs serres », précise Anne Hersent, membre du jury et enseignante au lycée du Fresne. Jean-Pierre Godicheau, horticulteur au Lion d’Angers, membre du jury pour la première fois, est convaincu de l’intérêt de ce genre de manifestation pour promouvoir le métier : « Là, on est dans du concret, pas sur un stand statique. Les jeunes passent et ils peuvent poser des questions aux candidats, aux enseignants ou à nous, professionnels » .
« Un élément positif sur un CV »
À l’issue des deux jours de compétition, c’est Aurélien Onillon, 21 ans, en 2e année de BTS production horticole option pépinière au CFA de l’Ésa, qui s’est imposé. Originaire de Chemillé, le jeune homme avait assisté il y a deux ans aux épreuves, en tant que spectateur et c’est ce qui lui a donné envie de se présenter à son tour. « Une participation aux Olympiades, c’est un élément positif sur un CV. Cela permet de valoriser sa formation », explique-t-il. « C’est important aussi de faire découvrir le métier aux jeunes. Ouverte au grand public, cette manifestation apporte une reconnaissance à notre travail ». Passionné par le métier qu’il veut faire « depuis tout petit », Aurélien Onillon partagera à nouveau son savoir-faire et son enthousiasme en mars à Amiens, lors de la finale nationale.
Rassemblés au sein du pôle agriculture, les horticulteurs et les jardiniers-paysagistes ont montré leurs savoir-faire tout au long des deux journées de compétition. Sur le stand horticulture, sous l’œil attentif du jury composé de formateurs et de professionnels, les six candidats en lice se sont mesurés lors de huit épreuves de floriculture : tuteurage des hortensias, rempotage manuel, rempotage mécanisé, tri et conditionnement des fleurs coupées, confection de coupes, connaissance et reconnaissance des végétaux, semis manuel, mise en place d’un système d’irrigation localisé.
Des débouchés à tous niveaux
« L’horticulture participe pour la deuxième fois seulement aux Olympiades des métiers. C’est important d’être là, de montrer qu’il y a des jeunes qui se forment à ce métier, qu’ils acquièrent des connaissances générales et techniques. Cela permet de tordre le cou à certaines idées reçues : ce n’est pas un métier à la chaîne, il faut du goût, de l’organisation. Les gens ont souvent une vision assez limitée du métier. Il y a des débouchés à tous les niveaux. Nous avons tous les ans des jeunes qui montent leurs serres », précise Anne Hersent, membre du jury et enseignante au lycée du Fresne. Jean-Pierre Godicheau, horticulteur au Lion d’Angers, membre du jury pour la première fois, est convaincu de l’intérêt de ce genre de manifestation pour promouvoir le métier : « Là, on est dans du concret, pas sur un stand statique. Les jeunes passent et ils peuvent poser des questions aux candidats, aux enseignants ou à nous, professionnels » .
« Un élément positif sur un CV »
À l’issue des deux jours de compétition, c’est Aurélien Onillon, 21 ans, en 2e année de BTS production horticole option pépinière au CFA de l’Ésa, qui s’est imposé. Originaire de Chemillé, le jeune homme avait assisté il y a deux ans aux épreuves, en tant que spectateur et c’est ce qui lui a donné envie de se présenter à son tour. « Une participation aux Olympiades, c’est un élément positif sur un CV. Cela permet de valoriser sa formation », explique-t-il. « C’est important aussi de faire découvrir le métier aux jeunes. Ouverte au grand public, cette manifestation apporte une reconnaissance à notre travail ». Passionné par le métier qu’il veut faire « depuis tout petit », Aurélien Onillon partagera à nouveau son savoir-faire et son enthousiasme en mars à Amiens, lors de la finale nationale.
D. J.