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Convention
L’Inrae et l’université d’Angers renforcent leur collaboration historique

 Le 12 janvier, Philippe Mauguin, président directeur général d’Inrae et Christian Roblédo, président de l’Université d’Angers ont signé leur première convention d’objectifs et de moyens pour une durée de 5 ans.

Dans le cadre de son projet Inrae 2030, l’Université d’Angers est le second partenaire universitaire à signer une telle convention avec Inrae. Inscrite dans le cadre de la dynamique angevine du campus du végétal, cette convention marque la volonté partagée des deux établissements de renforcer et élargir leurs collaborations en matière de recherche, formation, innovation et ouverture européenne et internationale sur la thématique du “Végétal spécialisé”. « Premier pôle de formations en France dédiée au végétal et 1er pôle de recherche national sur le végétal spécialisé, cette convention va permettre non seulement de consolider un partenariat de longue date, mais aussi de donner un nouvel élan. Cette conjugaison heureuse d’un partenariat exemplaire a déjà permis l’émergence puis le développement du Campus du végétal dont le symbole est la Maison de la recherche en végétal », souligne Christian Roblédo, président de l’Université d’Angers. 


Faire face aux enjeux environnementaux

Les thèmes des projets scientifiques ? L'immunité végétale et le pilotage du microbiote. « Cette convention s’inscrit dans notre objectif de mettre au cœur de notre stratégie scientifique le lien de plus en plus structurant entre la recherche et la formation. Notre engagement commun contribuera à renforcer la recherche et la formation en santé des plantes et des cultures pour répondre aux enjeux mondiaux de transition agroécologique et alimentaire », explique Philippe Mauguin, président directeur général d’Inrae. Les deux organismes veulent garantir une qualité et une production durable des cultures dans un contexte de réduction nécessaire des intrants (phytosanitaires, engrais, eau). La convention fixe les objectifs à atteindre et les moyens à mettre en œuvre notamment en termes de mise en place d’enseignements au niveau master-doctorat du type Graduate School. « L’idée étant de former des scientifiques de haut niveau qui sauront faire face aux défis du contexte actuel en production végétale », note Thomas Guillemette enseignant-chercheur en pathologies végétales à l’Université d’Angers et membre de l’IRHS. La convention fixe aussi des objectifs pour le co-financement de thèses, de recrutements coordonnés et d’accueil de chercheurs, de mobilité internationale de doctorants, de renforcement de partenariats avec les acteurs socio-économiques et d’équipement des infrastructures de recherche. 

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