INTERVIEW
Philippe Vasseur, président de l’Aficar : « Recréer des liens de proximité entre le grand public et l’agriculture »
INTERVIEW
Philippe Vasseur.
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Ancien Ministre de l’Agriculture, Philippe Vasseur préside de l’Agence française d’information et de communication agricole et rurale. Il est intervenu le 30 novembre lors d’une soirée-débat organisée par la FDSEA et l’Anjou agricole à qui il a accordé une interview en avant-première.
Quel est le rôle de l’Aficar ?
Philippe Vasseur : L’Aficar a été créée par la Loi sur le développement des territoires ruraux. Sa mission vise à améliorer la connaissance par le public du monde agricole et rural , à promouvoir l’image de l’agriculture auprès des consommateurs et à valoriser les métiers et les produits issus des territoires ruraux.
Pourquoi a-t-elle été créée ?
Il est urgent de balayer les préjugés pour mettre fin aux malentendus et de construire des liens durables entre le monde agricole et le reste de la société. Les Français n’imaginent pas tout ce que l’agriculture leur apporte. Les produits de l’agriculture sont présents à tous les lieux de proximité avec le grand public.
Quel est le rôle de l’Aficar ?
Philippe Vasseur : L’Aficar a été créée par la Loi sur le développement des territoires ruraux. Sa mission vise à améliorer la connaissance par le public du monde agricole et rural , à promouvoir l’image de l’agriculture auprès des consommateurs et à valoriser les métiers et les produits issus des territoires ruraux.
Pourquoi a-t-elle été créée ?
Il est urgent de balayer les préjugés pour mettre fin aux malentendus et de construire des liens durables entre le monde agricole et le reste de la société. Les Français n’imaginent pas tout ce que l’agriculture leur apporte. Les produits de l’agriculture sont présents à tous les lieux de proximité avec le grand public.
L’activité de l’agence démarre. Comment va-t-elle travailler ?
L’Aficar doit être un lieu de convergence. Elle a pour objectif de s’adresser au grand public sur des thèmes plus structurels que conjoncturels. C’est en montrant concrètement que l’agriculture et les produits qui en sont issus nous accompagnent tout au long d’une journée et sont présents à tous les instants de la vie quotidienne, que l’on recréera des liens de proximité avec le grand public.
Quelles sont les premières actions prévues ?
Pour lancer l’activité de l’agence, j’ai proposé une démarche en trois temps :
- tout d’abord faire connaître l’agence, l’installer dans Le paysage par une appropriation collective de tous ses partenaires. La soirée-débat du 30 novembre contribue
à cette appropriation.Quelles sont les premières actions prévues ?
Pour lancer l’activité de l’agence, j’ai proposé une démarche en trois temps :
- tout d’abord faire connaître l’agence, l’installer dans Le paysage par une appropriation collective de tous ses partenaires. La soirée-débat du 30 novembre contribue
- ensuite faire connaître l’agence et ses objectifs auprès des relais d’opinion (enseignants, médias, élus, associations, syndicats, sportifs…)
- enfin organiser des événements à destination du grand public. Les jeunes seront la cible prioritaire. Toutes ces actions doivent recréer de la proximité entre l’agriculture et le citoyen en lui montrant qu’à tout moment de la journée et quoi que l’on fasse, nous sommes en contact permanent avec des produits issus de l’agriculture.
- enfin organiser des événements à destination du grand public. Les jeunes seront la cible prioritaire. Toutes ces actions doivent recréer de la proximité entre l’agriculture et le citoyen en lui montrant qu’à tout moment de la journée et quoi que l’on fasse, nous sommes en contact permanent avec des produits issus de l’agriculture.
Philippe Vasseur sera à la soirée débat du 30 novembre au Parc des expositions.
Propos recueillis par P.G.