Influenza aviaire : un "pacte de prudence" envisagé
Stéphane Le Foll a annoncé, le 20 mars, « travailler sur un pacte avec l’interprofession des palmipèdes gras et des gallinacés » pour éviter que les épisodes de grippe aviaire ne prennent une telle ampleur les prochaines années.

Entre abattages de masse, indemnisations et aides à la trésorerie, « nous n’allons pas reconduire cela tous les ans », a-t-il déclaré en indiquant quelques chiffres : 1 700 000 volailles et 2 300 000 canards abattus en 2017, des avances de trésoreries de l’ordre de 20 millions d’euros en 2017 et de 10 millions en 2016.