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Maine-anjou
L’AOP Maine Anjou au menu d’Hippopotamus

Un contrat d’exclusivité avec le groupe de restauration Flo.

éleveurs, restaurateurs se sont retrouvés au Domaine des rues, à Chenillé-Changé, à l’occasion de l’assemblée générale du syndicat AOC Maine-Anjou.
éleveurs, restaurateurs se sont retrouvés au Domaine des rues, à Chenillé-Changé, à l’occasion de l’assemblée générale du syndicat AOC Maine-Anjou.
© AA

Un contrat d’approvisionnement gagnant-gagnant. Les éleveurs du syndicat Maine-Anjou ont signé une déclaration d’engagement ce lundi 18 novembre avec le groupe Flo, lors de l’assemblée générale de l’AOP. Un engagement de cinq ans qui lie les éleveurs de l’Adema et le groupe de restauration Flo.

D’un côté, les éleveurs s’engagent à vendre leur viande exclusivement au groupe de restauration qui détient plus de 300 restaurants en France, avec entre autres, la chaîne Hippopotamus. De l’autre, la chaîne, elle, s’engage à acheter toute la viande AOP à un prix en fonction des coûts de production des éleveurs. “Pour nous, restaurateurs, c’est avant tout la garantie de proposer un produit de qualité, note Dominique Giraudier, directeur général du groupe Flo. Avec un tel produit, nous arrivons à valoriser 90 % de la carcasse de l’animal.”

Et les éleveurs, eux, apprécient que le produit soit bien mis en valeur. C’est aussi la garantie d’un revenu. “Le prix d’achat est évalué en fonction des coûts de production. En moyenne, il se situe 30 centimes au dessus du marché conventionnel”, note Anthony Gervais, président de Adema. Aujourd’hui, une vache régal est vendue pour 4,80 euros le kilo. “Il faut montrer à la future génération que nous avons des outils transmissibles.” Actuellement, 35 animaux (toutes bêtes confondues) partent chaque semaine à l’abattoir pour la chaîne de restauration. ”Notre objectif : atteindre les 2 000 animaux sur une année d’ici un an”.

H.R.

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