De l’azote pour réveiller les blés
La plupart des agriculteurs du Maine-et-Loire ont réalisé le premier apport d’azote sur blé durant l’épisode de froid, fin février. Pour certains, le second ne devrait plus tarder. Encore faut-il accéder aux parcelles...

Le Maine-et-Loire n’a pas été épargné par le froid de fin février. « A priori, il n’a pas porté à conséquence sur mes blés. Aujourd’hui, ils ne se réveillent pas trop mal. Ils sont au stade redressement épi-0,5 », constate pour le moment Mickaël Aubert, agriculteur dans le Segréen. (...) Les parcelles non drainées sont « encore fraîches pour y accéder. » Même constat dans le Baugeois à cause de l’excès d’eau. (...) Dans le Saumurois, les blés du Gaec de Lenay « se portent très bien », note David Lecomte, le salarié en charge des grandes cultures. « Ils sont au stade fin tallage-début montaison. On sent les effets du 1er apport d’azote », précise-t-il. Celui-ci a été effectué le 28 février. « Un mois plus tard que les autres années. » (...)
Retrouvez l'intégralité de l'article dans l'Anjou Agricole du vendredi 16 mars 2018.