Interview : Jean-Marc Lézé
Une année de travail quotidien et de suivi de dossiers spéciaux
En cette fin d‘année 2006, quel bilan pouvez-vous dresser sur les dossiers concernant l’agriculture ?
Jean-Marc Lézé : l’année 2006 restera pour nous une année importante. C’est au cours de cette année qu’a été fêté le 60e anniversaire de la FDSEA. C’est en 2006 également qu’est entrée en application la nouvelle réforme de la Politique agricole commune, avec la mise en place des DPU, les droits à paiement unique. Ensuite, cette année 2006 a été marquée, comme l’année précédente, par la sécheresse. Ces trois dossiers importants, à côté de ceux que l’on gère au quotidien, nous ont beaucoup occupés.
Etes-vous satisfait de la façon dont ont évolué ces trois dossiers ?
Sur ces dossiers, notre travail a permis d’engranger un certain nombre de victoires. Concernant la Pac et aux DPU notamment. Il se trouve qu’en Maine-et-Loire, un certain nombre de productions étaient sans soutien. Cette situation entraînait une concurrence insupportable. Nous avons donc beaucoup œuvré afin que ces productions, j’en cite quelques unes : les semences potagères, fourragères, et d’autres encore, puissent bénéficier des soutiens publics. Suite à ces nombreuses actions menées et portées au plan national, le Maine-et-Loire va être le département qui va le plus bénéficier de retour de soutiens publics par rapport à ce qui était prévu. D’autres dossiers restaient sans réponse. A force d’insistance, nous avons obtenu des réponses positives.
Pouvez-vous citer quelques exemples ?
Citons en deux. Dans le cas de dissolution de gaec : grâce à notre pugnacité, le ministère de l’agriculture a fini par dégager un nouveau programme pour couvrir les besoins. Prenons le cas aussi des agriculteurs dont les soutiens connaîtront des évolutions importantes, de l’ordre de 10 % en moins. Notre objectif était qu’il n’y ait pas d’écart trop important d’une année sur l’autre, afin de permettre aux exploitations de s’adapter. Les programmes complémentaires obtenus vont permettre un lissage. Ces actions ont été menées auprès des Pouvoirs publics, mais elles sont conduites au profit des agriculteurs.
Vous évoquiez les dossiers sécheresse de 2005 et 2006…
Toujours dans la logique de défense du revenu des agriculteurs, la reconnaissance de la sécheresse 2005 a entraîné aussi une exonération de la TFNB. Cela a ramené qui un peu plus de 9 millions d’euros dans les comptabilités des agriculteurs concernés. Pour 2006, un dossier solide et bien soutenu par l’administration aux côtés de la profession, a été construit. Il a permis une reconnaissance de la totalité du département. Le Maine-et-Loire est le seul dans ce cas.
Jean-Marc Lézé : l’année 2006 restera pour nous une année importante. C’est au cours de cette année qu’a été fêté le 60e anniversaire de la FDSEA. C’est en 2006 également qu’est entrée en application la nouvelle réforme de la Politique agricole commune, avec la mise en place des DPU, les droits à paiement unique. Ensuite, cette année 2006 a été marquée, comme l’année précédente, par la sécheresse. Ces trois dossiers importants, à côté de ceux que l’on gère au quotidien, nous ont beaucoup occupés.
Etes-vous satisfait de la façon dont ont évolué ces trois dossiers ?
Sur ces dossiers, notre travail a permis d’engranger un certain nombre de victoires. Concernant la Pac et aux DPU notamment. Il se trouve qu’en Maine-et-Loire, un certain nombre de productions étaient sans soutien. Cette situation entraînait une concurrence insupportable. Nous avons donc beaucoup œuvré afin que ces productions, j’en cite quelques unes : les semences potagères, fourragères, et d’autres encore, puissent bénéficier des soutiens publics. Suite à ces nombreuses actions menées et portées au plan national, le Maine-et-Loire va être le département qui va le plus bénéficier de retour de soutiens publics par rapport à ce qui était prévu. D’autres dossiers restaient sans réponse. A force d’insistance, nous avons obtenu des réponses positives.
Pouvez-vous citer quelques exemples ?
Citons en deux. Dans le cas de dissolution de gaec : grâce à notre pugnacité, le ministère de l’agriculture a fini par dégager un nouveau programme pour couvrir les besoins. Prenons le cas aussi des agriculteurs dont les soutiens connaîtront des évolutions importantes, de l’ordre de 10 % en moins. Notre objectif était qu’il n’y ait pas d’écart trop important d’une année sur l’autre, afin de permettre aux exploitations de s’adapter. Les programmes complémentaires obtenus vont permettre un lissage. Ces actions ont été menées auprès des Pouvoirs publics, mais elles sont conduites au profit des agriculteurs.
Vous évoquiez les dossiers sécheresse de 2005 et 2006…
Toujours dans la logique de défense du revenu des agriculteurs, la reconnaissance de la sécheresse 2005 a entraîné aussi une exonération de la TFNB. Cela a ramené qui un peu plus de 9 millions d’euros dans les comptabilités des agriculteurs concernés. Pour 2006, un dossier solide et bien soutenu par l’administration aux côtés de la profession, a été construit. Il a permis une reconnaissance de la totalité du département. Le Maine-et-Loire est le seul dans ce cas.