Une viande haut de gamme grâce à la génétique
A l’occasion de l’assemblée générale du syndicat parthenais Anjou, mardi 21 mars, le Gaec Maison Guillemet, à Saint-Hilaire-du-Bois, a présenté son élevage réputé pour ses qualités génétiques.
« Valoriser la race dans le haut de gamme. » Jérémy Guillemet, qui a ouvert les portes de son exploitation lors de l’assemblée générale du syndicat parthenais Anjou, croit au potentiel de la parthenaise qu’il élève avec ses parents. Le jeune homme en Gaec depuis janvier 2016 à Saint-
Hilaire-du-Bois (49) perpétue une tradition familiale. « Cela fait 5 générations que la parthenaise est dans la famille. » Leur débouché ? Un boucher nantais. Les taurillons, eux, partent pour l’export. « Le boucher nous demande une vache tous les quinze jours. » Mais les agriculteurs ne peuvent pas satisfaire la demande. Une vingtaine de vaches sont vendues via ce circuit.
Son père, Michel, auparavant agriculteur enVendée, s’est installé depuis novembre 2013 avec la moitié du troupeau familial. Depuis, l’exploitation compte 120 vêlages par an, l’objectif étant d’atteindre 160 à 170 vêlages. « On a avancé les vêlages à 2 ans pour agrandir le troupeau rapidement. » L’ambition du Gaec Maison Guillemet est de vendre une vache par semaine dans un circuit direct. Ce type de débouché assure un revenu, certes. « Mais nous n’avons pas le droit à l’erreur", remarque Michel Guillemet...
Lire l'intégralité de l'article dans l'Anjou agricole du 24 mars 2017.