Aller au contenu principal

Végétal spécialisé
Nouveau logo et grandes ambitions pour le groupe coopératif Fleuron d’Anjou

Le groupe coopératif, qui aura 60 ans en 2022, ambitionne d’être le référent sur le marché du végétal santé et bien-être.

« La pandémie a exacerbé le besoin de végétal », soulignait Florian Bonnot, directeur commercial de Fleuron d’Anjou, lors de la présentation du nouveau logo et de la stratégie du groupe coopératif, jeudi 9 septembre à Angers. Après une année 2020 fortement impactée par le Covid, le groupe angevin, qui compte plus de 80 producteurs adhérents, 300 salariés et 6 sites en Anjou, a réalisé au printemps 2021 un chiffre d’affaires record, de près de 70 millions d’euros. « Le plus haut depuis sa création », a noté le président Christophe Thibault. L’activité, répartie à parts égales entre le maraîchage et l’horticulture, connaît un fort dynamisme. La coopérative attire de nouveaux porteurs de projet : « la moyenne d’âge des producteurs adhérents est inférieure à 44 ans, et nous comptons 15 nouvelles adhésions depuis 2018 », a précisé Christophe Thibault.


Créer de la valeur pour les producteurs

Symbole de ce dynamisme, le nouveau logo dévoilé jeudi est une fleur de lys moderne, stylisée : « ce logo illustre ce que nous sommes et ce que nous souhaitons devenir : le référent du végétal bien-être, avec une offre centrée sur les besoins de nos clients, sur l’innovation et l’apport de solutions pour aujourd’hui et demain ».
Le groupe s’emploie à adapter ses gammes pour répondre aux demandes sociétales, tout en créant de la valeur pour les producteurs. Il développe le bio depuis 2 ans, le prêt à cuisiner pour les plantes aromatiques, la certification HVE (Haute valeur environnementale), qui est en cours sur l’ensemble des productions.
L’entreprise s’adapte à la révolution digitale pour gagner en efficacité. Parmi ces projets digitaux : un web shop horticole, lancé ce printemps, et un ambitieux projet de digitalisation de l’ensemble de la chaîne de flux de la branche horticole qui devrait être opérationnel au printemps 2023 et qui sera subventionné par France Agrimer.  
Enfin, le groupe s’emploie aussi à “décarboner“ ses livraisons. Depuis 2013 et la création de Vegesupply, les moyens de 10 horticulteurs sont mutualisés. Avec, à la clé, moins de camions sur les routes.

S.H.

Sous-titre
Vous êtes abonné(e)
Titre
IDENTIFIEZ-VOUS
Body
Connectez-vous à votre compte pour profiter de votre abonnement
Sous-titre
Vous n'êtes pas abonné(e)
Titre
Créez un compte
Body
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout l'Anjou Agricole.

Les plus lus

A l'EARL le Pont Montreuil, à Châtelais : Thomas Jolly, conseiller territoire à la Chambre d'agriculture, Alexandre Mosset, chargé de mission agriculture et environnement à Anjou Bleu Commmunauté, Marc, conseiller agricole en recherche d'une exploitation et l'agriculteur Jean-Claude Fournier. "Je suis prêt à faire un parrainage si le jeune le souhaite", a souligné le futur cédant.
Un premier agribus en Segréen pour visiter des fermes à reprendre

Vendredi 21 mars, la Chambre d'agriculture et Anjou Bleu Communauté ont organisé le premier agribus en Maine-et-Loire. Un…

Qui sont les nouveaux agriculteurs ?

Alors que le renouvellement des générations est un enjeu majeur, l'Esa a mené l'enquête Agrinovo, sur les nouveaux…

En matière de phytosanitaires, le SRAL attire l'attention des agriculteurs sur l'absence d'équipements de protection individuels, des pulvérisateurs non contrôlés et sur les conditions d'emploi des produits.
Un bilan des contrôles qui va dans le bon sens

Vendredi 21 mars, le Préfet a réuni la profession agricole et tous les services de l'Etat pour faire un bilan des contrôles…

Olivier Brault succède à Régis Alcocer

Le vigneron Olivier Brault, installé à Brissac Loire Aubance, préside désormais les Caves de la Loire, pour deux années avant…

Anne Mahé, directrice de la fédération Groupama49, Jacques Blondet et Dylan Mortier, préventeur des risques naturels à la caisse régionale de Groupama.
Anticiper le risque inondation
Afin de mieux maîtriser les coûts de sinistres et d'anticiper les risques, Groupama initie des actions de prévention sur le…
Alors que les semis de printemps démarrent, les canons effaroucheurs à gaz doivent être implantés au minimum à 150 mètres des habitations riveraines.
Les effaroucheurs sonores autorisés jusqu'au 30 juin
L'utilisation des canons à gaz pour protéger les semis de printemps est régie par un nouvel arrêté préfectoral de 2024, avec des…
Publicité
Titre
Je m'abonne
Body
A partir de 176€/an
Liste à puce
Consulter l'édition du journal l'Anjou agricole au format papier et numérique
Accédez à tous les articles du site l'Anjou agricole
Ne manquez aucune information grâce à la newsletter d'actualités
L’accès aux dossiers thématiques
Une revue Réussir spécialisée par mois